lundi 15 août 2016

La question chinoise et le cardinal Zen

Le cardinal Zen s'est exprimé récemment à plusieurs reprises sur les négociations entre le Vatican et le gouvernement chinois. Souhaitons vivement que sa voix soit entendue, car c'est un fidèle parmi les fidèles et il faut le dire, les temps sont mauvais!
Voici quelques liens sur le sujet:





L'avenir confirmera ou non ce pessimisme. Prions beaucoup pour le pape, pour l'Eglise et pour la Chine. Mais on ne peut qu'être inquiet, si le pire se produit: voir ceux qui ont résisté héroïquement pendant des décennies sacrifiés à une diplomatie à courte vue. Il me souvient que Vatican II avait voulu faire cesser toute intervention du pouvoir politique dans la nomination des évêques. A moins que, les voies de Dieu étant impénétrables, on assiste à ce qu'on avait déjà vu avec le concordat napoléonien et à une résurrection de l'Eglise, dont la vitalité dans la France du XIXe siècle est un fait indéniable. Mais je me permets pour l'instant d'en douter. 


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